jeudi, 02 avril 2015 14:31

Emportés par d'originaux jeux de formes Dior

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Comme uniques bijoux, la femme Dior accumule les bagues : portées sur deux, trois, quatre doigts ou sur une phalange, elles sont habillées de pierres naturelles, laissées presque brutes, comme l’onyx, la calcédoine, le marbre ou le quartz, ainsi que de verre translucide rouge vif et rose tendre.

De tailles et de géométries variables, les bagues explorent des associations chromatiques inédites et forment ensemble un bijou de main d’un genre nouveau. Présenté pour la première fois avec la collection prêt-à-porter printemps-été 2015, le maillon est porté tantôt en bague, à l’index, avec des incrustations de pierres aux nuances tendres, tantôt en ornement d’un tir-zip métallique, comme un lien subtil entre le bijou et le vêtement.  

Le sac Lady Dior  est aussi réinterprété : pratique dans sa version géante pour tous les jours, il devient un ornement miniature avec des patchs de sequins et une large bandoulière.

Porté à bout de bras, le Diorama,  le nouveau sac de la Maison, arbore des teintes scintillantes qui font écho aux paillettes des vêtements de la collection. Enfin, les bottes à plate-forme compensée, composées d’empiècements et d’une accumulation de couleurs – gris, vert et noir ou encore marron et bleu –, ainsi que les bottines plates bicolores en cuir Stretch, qui enlacent les chevilles, achèvent cette redéfinition de la silhouette de la femme Dior.